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Thursday, 27 June 2019
Qu'est-ce qu'un moteur de réponse ?
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Tuesday, 25 June 2019
Q'est-ce que le web visible ?
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Monday, 24 June 2019
Qui sont les curateurs du web ?
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Thursday, 20 June 2019
7 outils pour se former sur le web
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Tuesday, 18 June 2019
Comment choisir un objectif de formation ?
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Monday, 17 June 2019
Le capital social d’une société ne sert à rien !
Vraiment ? Le montant du capital social de votre entreprise lui permet de fonctionner, en début d’activité. Ensuite, le montant des fonds investis est aussi un signal fort de l’engagement des actionnaires propriétaires, qui parient sur un succès entrepreneurial. Pas convaincus ? On explique la notion de fonds d'amorçage et de finanacement du développement de l'entreprise. On vous parle "seuil de rentabilité", "point mort" et fonds de roulement ...
Dialogue avec un créateur d'entreprise qui fonde une société commerciale :
- « Combien, le montant du capital social de votre société ? »
- « bah... 500€ ! Le capital, ça sert à rien … ».
Pour tous ceux qui doivent lire vite, ne retenez que ces deux phrases encadrées :
Même si la loi l'autorise, afficher un capital ridiculement faible est perçu par les milieux économiques comme un signal de faiblesse. Cela décrédibilise l’entreprise et l’entrepreneur, qui fait implicitement l’aveu d'une certaine ignorance des bases financières universelles autour de l'argent nécessaire pour l'amorçage d'une entreprise.
Psychologie économique : le capital pour inspirer la confiance
Le capital social, c’est la mise de ceux qui risquent de l’argent dans une société commerciale (les créateurs d'entreprises). Ils en sont propriétaires dans un but lucratif, donc sont censés croire dans le potentiel de croissance d’un modèle économique. Alors, miser "petit", revient à afficher des doutes dans ses propres chances de succès.
Réalité économique : combien d'argent faut-il pour créer mon entreprise ?
Lors de la création de l’entreprise, la mise à disposition (on dit « libération ») du capital donne à la société des ressources pour acheter le patrimoine de départ. Ce patrimoine peut se composer de liquidités, versées sur le compte en banque de la société ou de moyens d’exploitations (machines, stocks, licences,…) apportés par celui ou ceux qui souscrivent au capital. Plus la valeur du capital est importante, plus le patrimoine dont dispose l’entreprise pour l'amorçage de son activité est important.
La suite est assez simple : petits moyens, petits développement donc petits bénéfices; même en étant vertueux, et en réaffectant les bénéfices aux réserves, les capitaux propres peuvent demeurer structurellement faibles pendant des années.
Mais il y a une hypothèse pire : manque de moyens = pas assez d’argent pour faire vivre une entreprise en attendant les premiers bénéfices = cessation de paiements = échec entrepreneurial.
Les ratios financiers appliqués au capital des sociétés
- « Le capital ne sert à rien ... »
objecte encore ce créateur d’une société de service, malgré mes objurgations.
De fait, son activité de conseil, ne lui fait engager que ses capacités intellectuelles propres et ce chanceux dispose des contrats clients nécessaires pour assurer la rentabilité immédiate de l’entreprise dès sa création.
Cela c’est la situation aujourd’hui. Mais demain ? Si la société traverse un trou d’air ou, au contraire, doit disposer de ressources complémentaires pour financer une croissance rapide ?
Des performances aussi involontaires qu'inattendues peuvent mettre en péril l'équilibre de l'entreprise si les moyens de celle-ci sont dépassés.
Nous avons évoqué la psychologie du banquier, qui a toujours une lecture du bilan différente de celle de l'entrepreneur. Une société commerciale dont les fonds propres sont insuffisants (donc sous-capitalisée) est mathématiquement en position délicate, dès qu’elle dépend du bon vouloir de tiers. Banquiers, fournisseurs et prospects utilisent des formules immuables pour évaluer la solidité financière de votre entreprise avant de miser sur elle.
Etre « en dehors des clous » dans les résultats de ratios financiers universels, c’est se marginaliser et prendre le risque de voir des portes se fermer, au mauvais moment. %%%
Société commerciale : une personnalité juridique distincte
Une société commerciale est une personne morale, qui dispose d'une personnalité juridique distincte de celle des personnes physiques qui l'ont créée. L'affichage, à titre privé, d'une fortune confortable, n'entre pas dans les ratios financiers de votre société. En revanche, l'actionnaire propriétaire finit toujours par être tenu responsable d'éventuelles fautes de gestion : la sous-capitalisation d'une société en est -potentiellement- une. La faute sera jugée d'autant plus grave quand un entrepreneur un peu pingre est connu pour quelqu'un qui "a les moyens" de faire face aux besoins de la société dont il est mandataire.
Conseil du Sage (ou sage conseil) : quand vous déterminez le montant du capital de votre société commerciale, c’est vous qui avez la main : pensez sécurité et confort, prévoyez large : l’avenir est fait d’imprévus. Les lecteurs intéressés par le financement des entreprises peuvent suivre ces tags [BFR|tag:BFR] et [besoin en fonds de roulement|tag:besoin en fonds de roulement].
Autoformation : Evitez les chausse-trapes
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Thursday, 13 June 2019
Comment développer de nouvelles compétences
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Wednesday, 12 June 2019
Comment développer sa curiosité
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Tuesday, 11 June 2019
Conséquences de l'impayé
Il est une combinaison qui est mortelle pour les entreprises : une concentration client trop forte et le client principal qui ne vous règle pas. Lorsque cela arrive, vous pouvez être certain que votre entreprise va se trouver dans une zone de très fortes turbulences, et pourra même en mourir. Même en dehors de cette situation extrême, l’impayé a toujours un fort impact pour l’entreprise, impact sur le cash, bien entendu, mais également
Évaluer l'acquisition des compétences
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Monday, 10 June 2019
Point mort de l'entreprise : maîtrise du seuil de rentabilité en lien avec la trésorerie.
Pour le pilotage de leur PME, les dirigeants doivent réunir des qualités de visionnaire, de gestionnaire, d’organisateur, de contrôleur et de négociateur. Pour suivre la rentabilité de l'entreprise, ils ont besoin d'indicateurs de gestion : qui modélise, sécurise! Le point mort et le seuil de rentabilité font partie des chiffres à connaître pour anticiper les crises de trésorerie.
Le niveau de trésorerie conditionne tout
La première jauge, sur le tableau de bord du chef d’entreprise, c’est le cash disponible. Pour anticiper le besoin de trésorerie, un système de calcul du besoin en fonds de roulement doit être organisé et maintenu à jour. Outre la structure du bilan comptable, le BFR doit prendre en compte le seuil de rentabilité et le point mort de l'activité à financer (vidéo)
Calcul du seuil de rentabilité et du point mort
Agir pour s’assurer du niveau de trésorerie nécessaire pour faire fonctionner l’entreprise chaque jour de l’année, est un exercice ardu. Quelques points-clés sont cependant communs à toutes les entreprises; ils sont affaire de bon sens. Dans ce post nous allons parler point mort et maîtrise des coûts.
Dépasser le « point mort »
On dit qu’une entreprise dépasse son « point mort » lorsque les revenus des ventes permettent de payer les frais fixes. Les charges fixes sont celles qui sont à payer en permanence, même s’il n’y a pas d’activité.
Il est difficile de prévoir le montant des recettes ; en revanche, l’entrepreneur peut additionner facilement ses frais fixes : la somme des rémunérations, des frais de locaux, les loyers de voitures, les assurances, etc. constitue le total des frais fixes d’une période donnée. Il est important de modéliser ceux-ci dans un tableau prévisionnel, à confronter ensuite avec la réalité des dépenses exposées au fil du temps, et bien sûr, avec le niveau des ventes.
Cela semble aller de soi ? J’ai déjà vu, cependant, des entreprises qui se lancent alors que leurs charges fixes dépassent les espérances de revenus. L’espoir ferait vivre ? En tout cas, le seuil de rentabilité conditionne la pérennité des entreprises.
Calculer les coûts de production
Les coûts de revient de la production des biens ou des services commercialisés par l’entreprise doivent être connus et décomposés de telle façon que le montant des charges variables à couvrir puisse être calculé, en fonction du niveau de production (les charges variables sont celles dont le montant dépend du volume de production et donc aussi du niveau des ventes).
Pour faire simple, plus on vend, plus on va devoir produire. L’entrepreneur qui maîtrise les coûts de production de son entreprise peut chiffrer, sur tableur, des hypothèses de rentabilité basées sur différents scénarios de niveau de ventes : optimiste, moyen, faible, etc.
Les entreprises qui stockent des produits sont d’autant plus concernées que d’une part, le stockage est aussi un centre de coût et d’autre part parce qu’un temps de stockage allonge le cycle de l’entreprise : pendant le délai qui sépare le moment des achats et/ou de la production du moment de l’encaissement des ventes, l’argent de l’entreprise est immobilisé.
Nous reviendrons sur l'impact des stocks sur la rentabilité dans un autre billet.
L’importance du tableau de bord
La maîtrise des coûts, qu’ils soient fixes ou variables, est une question stratégique universelle. Une bonne pratique de pilotage de l'entreprise consiste à chercher toujours à optimiser les coûts. Comment y parvenir sans les connaître intimement ? Pour objectiver une stratégie de réduction des coûts, un tableau de suivi de ceux-ci est indispensable. Il s’agit de tenir un indicateur permettant l’analyse des écarts entre les prévisions et la réalité comptable.
Connaître le niveau des coûts permet aussi la détermination des prix de ventes quand on veut bâtir un business model... rentable (dont le montant des revenus dépasse celui des charges.
Risques liés à la croissance trop rapide de l’entreprise
Maîtriser la décomposition des coûts de production permet de régler la voilure afin d’éviter de céder sous le choc d’une crise en cas de croissance rapide. Cela peut paraître surprenant au premier abord, mais l’obligation de surinvestir les moyens de production (personnel, machines, trésorerie disponible...) pour servir un gros marché tombé du ciel peut déséquilibrer dangereusement l’entreprise. Celle-ci vient alors à endosser un costume « trop grand pour elle ».
L’opportunité de chaque investissement doit être pesée en prenant en compte ses conséquences à long terme. Vouloir tout de suite une machine supplémentaire, quitte à emprunter l’argent nécessaire peut piéger l’entreprise par l’obligation de faire face à un endettement long et onéreux. L’embauche hâtive de salariés supplémentaires dans une période euphorique peut devenir un cauchemar pour l’entrepreneur, une fois le volume d’affaire redevenu à un niveau moyen.
Qui va lentement va sûrement ! Qui modélise sécurise !
Pour vous former au calcul du seuil de rentabilité et du point mort de votre business model, rejoignez-moi sur Formation-Compta-Tout-Pour-Entreprendre
Thursday, 6 June 2019
Analyse SWOT, l'outil stratégique
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Tuesday, 4 June 2019
La Matrice d'Ansoff, choisir une stratégie de croissance
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Monday, 3 June 2019
Se former seul, construire son plan personnel
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