Vos données ont du génie, nous vous aidons à le révéler

Recevez des chiffres directement exploitables. Toujours à jours toujours juste

Vos données ont du génie, nous vous aidons à le révéler

Notre bibliothèque de rapports, via l’opération souhaitée. 150 Rapports standard de type Comptable, Financier ou de Gestion, en mesure de personnaliser le rendu

l'Outil qui vous permet de piloter votre entreprise

Partager vos rapports avec vos collaborateurs. Les liens se maintiennent. Vos collaborateurs sont maitres de leurs données. Les données toujours à jour avec les mêmes fonctionalités que votre rapport

l'Outil qui vous permet de piloter votre entreprise

Connection database. Vos données informatiques, WinBooks Accounting ou Logistic en real time, ou connection à d'autres source d'information

l'Outil qui vous permet de piloter votre entreprise

L’interface, enfin, pour ajuster le rapport reçu.Le tout vers Excel. Drill down, tables pivot, graphiques.

Garder la main

Des gauges et des graphiques, 3 niveaux de détails, Analyses comparatives sur 5ans et moyennes mobiles de 12 mois. Par dosser des postes et ratios favoris. Pour chaque poste et ratio, 4 valeurs d'évaluation.

Budget et Forecast. Ne vous fait plus surprendre (installation non-standard)

Un module qui vous donne de manière aussi détailé que vous le souhaitez. Anticiper est mieux que guérir.

Cash Management,.... (installation non-standard)

Une module est fournis qui permet un gestion de cash maitriser. Eviter des surprises. Cash le clefs de la réussite! Projection tresorie.

Y compris des modules pour la relance de client,....(installation non standard)

Nous allons plus loin que des rapports, nous convertisons des conclusions en actions. Avec notre module auto-mailer, Promomail nous pouvons par exemple envoyer directement des rappels de paiements y compris les détails concernées et un lien vers les factures concernées. Dunning

Y compris des modules comme, Resources clients,....(installation non standard)

Une module de gestion resource Humaines complet. Y compris vacances, absences, mission, du temps, privilèges. Non seulement gestion , mais évidemment égalament les modules les rapports concernées

Y compris des modules de prospection,....(installation non standard)

Le modules promomail et promotrack permettent une suivie et gestion des actions de prospection

Webdata vos données accesible par internet

Le gestion des documents peut parfaitment bien être fait de façon décentraliser. C'est une moldule existant. Nous pouvons le réaliser pour vous!

Webdata vos données accesible par internet

Expense reports. Intégrer les dépenses de façon décentrale. Et obtien l'autorisation de frais

Webdata vos données accesible par internet

Stay in control! Feel free top contact us. Also go to our website. Feel free to test us for free. Grab the test version here. "http://catalog.back-line.be/index.php/ok-je-teste-2/"

Tarif

3 Formules, formule de base gratuits avec 15 rapports compris. Quartet avec 150 rapports en temps réels. Jusqu'a Symphony qui comprends toutes les modules et requetes sans limites d'utilisateurs. Helpdesk compris. Plug and Play.

Tarif

Des formations peuvent être organisées à différentes moments

Tarif

Nous pouvons vous aider à l'activation de différentes modules, ou au dévelopment sur mesures de différentes applications. Ceci au forfait horaires.

Showing posts with label concurrence. Show all posts
Showing posts with label concurrence. Show all posts

Thursday, 23 August 2018

Winner attitude



Sommes-nous impérativement tenus d'entrer dans la grande compétition où bien souvent tous les coups sont permis ? Il est désormais évident que la réussite passe nécessairement par l'entraide. Pourtant bien des entreprises favorisent un management stimulant la performance individuelle et la lutte au quotidien. Pourquoi ? Parce que la mesure de la performance à court terme est privilégiée même si elle pénalise le long terme. Absurde non ?
Dans une course de rats, même lorsque vous gagnez, vous n'en restez pas moins un rat.. (citée par Kenneth Blanchard)

L'entreprise et la compétition au quotidien

L'autre jour, j'étais de visite dans une entreprise dans le cadre d'un suivi de projet et je prenais mon café avec deux managers lorsque l'un d'eux me dit comme ça tout de go:
« Ils sont marrants les derniers embauchés, ils gèrent leur carrière comme s'il s'agissait d'une épreuve de formule 1... »
« Plutôt qu'une épreuve de formule 1, à mon avis, c'est la grande scène de la course de chars de Ben-Hur qu'ils nous jouent !  Ils ont leurs objectifs en ligne de mire et ne font pas de cadeaux !» Précise le second.

Conduire sa "carrière"

Vous avez sûrement déjà vu ce film splendide, le grand rôle de Charlton Heston. Rappelez-vous la scène de la course de chars. Là ça y est ? Avec le gros plan sur les roues des chars se rapprochant l'une de l'autre jusqu'à se toucher ? Angoisses et serrements de gorge assurés.
Le concurrent de Ben-Hur avait équipé ses roues de pointes coupantes. La course est sans merci, tous les coups sont permis. Pas de pitié pour les perdants ! (Pour la petite histoire, un des figurants avait oublié d'enlever sa montre, mais là c'est un autre sujet...)
Des collègues comme ça, qui en voudrait, dites-le moi !

Cela dit, le rapprochement des deux termes"carrière" et"course" est particulièrement curieux. En langue espagnole, cousine latine du français, le même mot, « carrera » désigne les deux notions, carrière et course. C'est aussi ce terme que l'on utilise pour définir ses études universitaires.
Voilà de quoi être titillé un brin si l'on s'intéresse un tant soit peu à l'étymologie des termes, toujours révélateur sur leur véritable sens. Poussons un peu plus avant.
Le petit Robert nous propsoe l'étymologie suivante :
Carrière vient de l'italien « carriera » qui signifie « chemin des chars » (lui même du latin carraria, carrus: char).
En français,  carrière  signifiait à l'origine :"arène pour les courses de chars".
Cette citation : « Il excelle à conduire un char dans la carrière »  Racine
Finalement, nous sommes bien plus proches de la course de chars de Ben-Hur que nous pouvions le supposer.

C'est assez amusant comme on revient toujours à l'étymologie des mots.

Alors, fin prêt pour la winner attitude ? 
Un oeil sur le drapeau à damiers, l'autre sur le podium et... Pas de quartiers ?

Nous pouvons vous aider avec votre projet. Il suffit de cliquer ici si vous voulez en savoir plus sur nous, ou entrer en contact.

Tuesday, 14 August 2018

La Stratégie militaire appliquée à la stratégie d'entreprise



La large majorité des entreprises n'ont pas de stratégie bien arrêtée et c'est bien là l'origine de leurs principaux problèmes. Mais attention, ce n'est pas en s'inspirant des récits guerriers édulcorés que l'on parviendra à résoudre cette question. La stratégie d'entreprise n'a strictement rien à voir avec la stratégie militaire.

La concurrence, ce n'est pas la guerre


Lorsque l'on ne s'est encore jamais frotter avec la conception et la mise en oeuvre d'une stratégie d'entreprise gagnante, il est tentant de se référer aux ouvrages s'inspirant de la stratégie militaire.
Les militaires passés par l'école de guerre ne sont-ils pas des spécialistes en la matière ?
Pourquoi ne pas s'inspirer des grands experts de la stratégie militaires pour bâtir des plans solides et efficaces ?
La réponse est simple : Une entreprise qui cherche à conquérir un marché n'a rien à voir avec une armée en campagne.

Mais alors qu'est-ce donc que la stratégie d'entreprise ?

Dans un monde hyper-concurrentiel aux changement brutaux et radicaux, ce ne sont pas des guerriers, le doigt sur la couture du pantalon, prêts à mourir au combat dont a besoin l'entreprise.
Pour gagner et conserver des secteurs de marché, l'entreprise a besoin de femmes et d'hommes experts dans leurs domaines et parfaitement autonomes et donc disposant d'un plein pouvoir de décision pour agir sur le terrain.

Des alliances, des coopérations, de l'innovation

D'autre part une stratégie n'est pas nécessairement une lutte où il s'agit de réduire l'adversaire à néant. Une stratégie gagnante c'est surtout des alliances et des coopérations, c'est aussi la recherche de créneau libre de concurrence, où l'on peut exprimer plus librement sa capacité innovatrice, comme le préconise la stratégie "Océan bleu". Encore faut-il partager le pouvoir et concevoir des stratégies dans un mode coopératif.

Clausewitz et Tolstoï

Nous sommes alors très loin de la stratégie militaire façon Clausewitz. D'ailleurs Léon Tolstoï qui fut sous-lieutenant durant la guerre de Crimée et le siège de Sébastopol met en pièces cette théorisation de la stratégie. Il explique que les plans les mieux conçus sont systématiquement mis en déroute sur le terrain.
Les généraux loin du coeur des combats n'ont aucune idée du déroulement précis. Et ce sont les hommes pris dans le feu de l'action qui improvisent. Ensuite et seulement ensuite les théoriciens réécrivent l'histoire pour construire après coup des plans géniaux.
À titre de clin d'oeil, rappelons que Clémenceau disait que la guerre est une chose bien trop sérieuse pour la laisser aux militaires. On ne va tout de même pas leur confier aussi les affaires civiles non ?

Commentaires lecteurs...

  • Bonjour à tous,
    A voir le marasme du management en entreprises avec son cortège de burn out, de harcèlement, de stress, voire de suicides pour des individus que ne partent ni en Afghanistan, ni en Libye, ni au Mali pendant des mois (sans parler des réformes permanentes depuis 20 ans), on se dit que les entreprises sont bien mal placées pour donner des conseils à nos armées dont l'efficacité est reconnue dans le monde entier !!!
    Bien cordialement,
    PH
    Ecrit par : Patrice
  • La stratégie militaire est un univers assez particulier où ceux qui décident ne sont pas ceux qui assument les risques sur le terrain. Les uns, souvent "bien nés", ont fait de belles études et une belle carrière et sont bien à l'abri dans les états majors, les autres, ceux qui ont connu un parcours de vie un peu plus compliqué, sont sur le terrain au péril de leur vie. Dans l'entreprise, il est urgent d'abandonner toutes références à ce modèle totalement inadapté pour s'approcher de quelques chose d'un peu plus démocratique et coopératif...
    Voir aussi les anciens commentaires ci-dessous (chronologie inversée)
    A+
    Ecrit par : Alain Fdz
  • Bonjour,
    Je pense que les généraux savent un minimum ce qui se passe sur le terrain. On ne devient chef d’état major dès sa sortie de Naval, Saint-Cyr ou l’École de l'air. On est d'abord sous-lieutenant et je ne pense pas qu'ils se la coule douce, même si il faut admettre qu'il commande déjà un certain nombre de personnes (pas plus d'une centaine). De plus, cette affirmation se confirme bien avec les élèves officiers de l'école de l'air, vous savez les futurs pilotes de chasses, qui pilote jusqu'au grade de Lieutenant Colonel (officier supérieur). Et puis les militaire du rang et sous officiers font parfois ce choix pour connaitre "le terrain" "l'action" (Beaucoup de mes amis me disent qu'il veulent être sous-off ou même militaire du rang pour devenir tireur d'élite ou autre. Parce que c'est une passion, un choix de vie)
    Ecrit par : ElT
  • Bonsoir,
    Merci pour votre réponse. Néanmoins, je ne suis pas convaincu. Si nos armées affichent d'excellentes performances, c'est parce qu'il y existe une très forte cohésion au sein des unités à taille humaine (une compagnie ou un bâtiment d'une centaine de personnes max.) avec souvent à leur tête un « officier biens né » (encore que 30% de l’effectif des grandes écoles militaires est composé de fils d’ouvriers et d’employés contre 10% chez leurs homologues civiles…).Ainsi, avant d'être chef d'état-major après une sélection drastique et continue sur des critères connus de tous, un officier issu de St-Cyr, Navale ou l'Ecole de l'air aura commandé ces petites unités en risquant lui-même sa vie (regardez le nombre d'officiers tombés en Afghanistan). Je ne connais pas beaucoup de grandes entreprises où le PDG a commencé à la tête d'une équipe de 15 à 30 personnes en « front office »... Dans les armées, on apprend à être au milieu des hommes et non au-dessus d'eux, à montrer l’exemple en somme. Chose peu connue, cet apprentissage passe aussi par un management beaucoup plus horizontal qu'on ne le pense. On enseigne au futur cadre militaire la "pédagogie participative par objectif" qui lui enjoint de faire systématiquement participer ses subordonnés à une prise de décision importante, sauf urgence opérationnelle bien sûr.
    Je vous rejoins sur un point : la haute hiérarchie militaire n'est pas encore à l'image de "la base", sociologiquement parlant. Cependant, c'est une question de temps. Je ne connais pas encore beaucoup de cadres dirigeants issus des "minorités visibles" au sein des entreprises du CAC 40...
    En résumé, vous seriez surpris de constater le respect et l'humanité qui règnent dans la plupart des unités qui arrivent à faire travailler efficacement et harmonieusement des individus sociologiquement très différents : des catholiques fervents, des adeptes de l’Ancien testament, des athées bons vivants et des musulmans plus ou moins pratiquants !
    Bien à vous,
    PH
    Ecrit par : Patrice
  • Bonjour,
    Sur ce plan je vous rejoins, les actionnaires sont rois, les directions des entreprises prennent des décisions radicales et ce sont les employés qui assument et en subissent toutes les conséquences (réduction d'effectifs, délocalisation, lean management...). C'est bien pour cela que je crois beaucoup plus en des structures de type coopératives autogérées voir notamment ici : AutoGestion
    À noter Dov Seidman dans son ouvrage HOW était parvenu à la même conclusion:How de Dov Seidman
    Bonne journée

    Ecrit par : Alain Fdz
  • Bonsoir,
    Je partage votre avis sur les dérives du capitalisme actuel. Les bénéfices nourrissent de plus en plus des actionnaires lointains, cupides et volatiles (fonds de pension) au détriment des salaires et de l'investissement. On est de plus en plus loin du capitalisme patrimonial qui avait une logique de long terme qui passait par un minimum d'attention portée aux salariés.
    Les coopératives autogérées sont peut-être une solution pour réindustrialiser notre pays. Merci pour vos liens.
    Bien à vous,
    Patrice.
    Ecrit par : Patrice

Un tel raisonnement me fait à mon tour sourire... Malgré nos conditions d'engagement particulièrement dures un peu partout dans le monde à l'heure actuelle, avec un effectif supérieur à celui de France Télécom, Renault et EDF réunis, nous, armées françaises, dénombrons beaucoup moins de suicides... Peut-être que le modèle de ce que vous appelez "management" et que nous appelons commandement pourrait s'inspirer du monde militaire (où l'homme est au centre des préoccupations des chefs)...
Ecrit par : cdebs 

S'inspirer du mode militaire ? Mais le modèle militaire est en fait le véritable fondement du management d'entreprise. Selon la petite histoire, Fayol, un des principaux concepteurs du modèle de management (Prévoir Organiser Commander Coordonner Contrôler), avait pour livres de chevet les travaux de Lyautey. Le terme de "cadre" et l'organisation hiérarchique conséquente, sont aussi directement issus du monde militaire.
D'ailleurs, Le problème est là. On s'obstine a maintenir le style de management vertical "je ne veux voir qu'une tête" datant des débuts de l'époque industrielle, tout en sachant que la seule manière de réussir en temps de concurrence et d'incertitude est de dynamiser l'innovation, qui elle ne peut s'exprimer que dans un modèle horizontal et coopératif. 
D'autre part si le critère nb de suicide devient l'indicateur de bien-être au travail, on est plutôt mal barré...
Ecrit par : afz

Nous pouvons vous aider avec votre projet. Il suffit de cliquer ici si vous voulez en savoir plus sur nous, ou entrer en contact.